Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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CONTACT LOCAL

23/12/2009 10:46

CONTACT LOCAL


Délégué pour la 14ème circonscription du Pas de Calais : Pascal Wallerand  

 

380 Bd Gabriel Péri 

62110 Hénin Beaumont   

Tél : 06/33/59/49/26   

Email : tarik.62@hotmail.fr 

Conseiller National : Michel Vast   

62220 Carvin 

Tel : 03/62/90/80/43  






L'Amérique à Bruxelles

23/12/2009 06:57

L'Amérique à Bruxelles


L'Amérique à Bruxelles

de Florence Autret

Type: Broché 

Editeur: Seuil 

Publié : 8/3/2007

229 pages 

ISBN : 202083717X 

Résumé du livre 

S'intéresser à l'influence américaine à Bruxelles ce n'est pas ouvrir un mystérieux 'e-File', un plan secret visant à la domination de l'Europe. Cela consiste simplement à suivre le fil des manoeuvres - du lobbying - de l'administration et des entreprises américaines pour infléchir le cours des politiques de l'Union. Et cela conduit très vite à un constat saisissant : leur extraordinaire habileté à franchir la barrière institutionnelle. L'influence américaine ne s'exerce pas tant de l'extérieur ou à la périphérie de l'Union mais de l'intérieur. Les Etats-Unis sont plus qu'un partenaire de l'Union, fût-il privilégié, ils en sont partie prenante. L'Union se fait tantôt sous leur impulsion, tantôt en opposition contre leurs tentations hégémoniques. Comme si la dialectique de la relation transatlantique avait été jusqu'à présent le principal et même le véritable moteur de l'Union. 

L’auteur 

Florence Autret est journaliste économique indépendante et collabore notamment aux publications financières de L’AGEFI et au quotidien Le Télégramme. 

Site internet : Blog de Florence Autret 






DEFENSE EUROPEENNE

22/12/2009 13:01

DEFENSE EUROPEENNE


DEFENSE EUROPEENNE, la grande illusion

de Jean Dominique Merchet

 

Editeur : Larousse

Collection : à dire vrai

Parution : 10/06/2009

ISBN10 : 2-03-584805-9

ISBN13 : 978-2-03-584805-5

EAN13 : 978203584055

 

 

Présentation de l'éditeur

"Les Américains font la cuisine, les Européens font la vaisselle".

Malgré tous ses efforts, l'Union européenne ne parvient pas à mettre sur pied une défense commune. Ainsi en décembre 1999, les Quinze décident de fonder une force militaire d'action rapide de 60 000 hommes à l'horizon 2003. Elle ne verra jamais le jour. Et c'est tant mieux ! Car la défense européenne est une illusion dangereuse, source de gabegie, d'impuissance et de renoncement. Loin d'être le mal dont souffrirait l'Europe, la pluralité et l'indépendance des nations ne seraient-elles pas le gage d'une défense efficace ?

 






L’Europe au début de l’hiver

22/12/2009 12:25

L’Europe au début de l’hiver


hureaux_0069 Parmi les patriotes que nous sommes, beaucoup, pourquoi ne pas l’avouer ? ont pensé que la mécanique supranationale de la Constitution européenne calerait avant d’aller jusqu’au bout.
La cause nous paraissait entendue après le double référendum négatif de mai-juin 2005, en France et aux Pays-Bas.
Quand fut mis en chantier le traité de Lisbonne, clone de la défunte Constitution, même illusion : le refus irlandais, les difficultés polonaises, la décision du tribunal constitutionnel de Karlsruhe tendant à préserver la souveraineté du Parlement allemand, le blocage obstiné du traité par Vaclav Klaus, président de la République tchèque, la perspective d’un référendum britannique nous avaient laissé espérer jusqu’ au dernier moment que l’affaire capoterait.
Considérant à juste titre que ces consultations partielles exprimaient l’hostilité de la plupart de peuples d’Europe au processus d’intégration en cours, nous pensions naïvement que, dans une Europe aux fortes traditions démocratiques, les peuples auraient en définitive le dernier mot.
Et bien non ! Nous nous sommes trompés. En cette fin de 2009, le traité de Lisbonne entre en application.
On pourra certes se consoler encore en considérant que les grands pays gardent la maitrise des orientations essentielles (ou de l’absence d’orientations !)  : plan de relance, politique étrangère, nomination des personnalités clef de l’Union. La France et l’Allemagne ont ainsi imposé , en application du traité de Lisbonne, un président de l’Union européenne honnête mais falot Herman Van Rompuy ( dont l’absence sur la scène intérieure risque de coûter cher à la Belgique ) et un haut-représentant aux affaires étrangères, Catherine Ashton, femme de cabinet sans légitimité démocratique, dont on peut se demander si les Britanniques ne l’on pas désignée pour ridiculiser la fonction.
Mais là aussi, il ne faut pas se réjouir trop vite. Car ce qu’il ya de plus redoutable dans la machine européenne se situe au niveau intermédiaire, celui où règne en maître la commission. Une commission beaucoup plus puissante depuis que l’Europe se fait à 27.
Le succès final du processus de ratification du traité de Lisbonne a montré que, malgré tous les obstacles, l’hydre bureaucratique bruxelloise étendait ses tentacules de manière inexorable et que, forte de sa puissance administrative, de sa patience et du caractère dispersé et intermittent des résistances, elle finissait , comme toute machine idéologique, à arriver au but qu’elle s’était fixé.
Or c’est au niveau de la bureaucratie qu’il y a lieu de craindre les effets de la ratification. Après avoir connu plusieurs années de morosité, liées aux résistances des peuples, la bureaucratie européenne vit aujourd’hui dans l’euphorie. La signature du traité de Lisbonne a libéré sa volonté de puissance.
Longtemps frustrés, les technocrates de Bruxelles veulent à présent mettre des bouchées doubles pour achever le processus d’intégration. La directive Bolkestein, aux effets si déstabilisateurs sur le marché du travail, un temps gelée, entre en application. Forte de la création d’un ersatz de ministère des affaires étrangères, la Commission a commencé à recruter 5000 diplomates qu’elle déploiera à travers le monde, à l’égal d’un Etat. Ce nouveau réseau diplomatique ne manquera pas de dévaluer les ambassades des pays membres. A la première contrainte budgétaire, un gouvernement français d’orientation européiste pourrait tirer prétexte de son existence pour alléger notre propre dispositif, dont l’étendue fut longtemps un facteur de rayonnement pour notre pays. Les Pays-Bas y pensent déjà.
Le traité de Lisbonne a d’importantes conséquences en matière de justice et de sécurité et donc de contrôle de l’immigration : dans ces domaines, les décisions pourront être prises à la majorité. La formation de policiers européens est à l’étude. Ne doutons pas que Bruxelles se précipitera pour occuper ces nouveaux territoires où pourtant elle est loin d’avoir fait ses preuves
Le travail d’unification des normes de toutes sortes, en application de l’Acte unique de 1987, destiné à parachever le marché intérieur, va se poursuivre.
En matière agricole, les crises du lait et celle des fruits et légumes ont montré le caractère impitoyable de la mécanique bruxelloise dès lors qu’il s’agit d’écraser les petits et les dégâts du tout-marché qu’elle cherche à instaurer. Pourtant la commission a fait circuler un mémorandum destiné à redéployer vers d’autres secteurs les dépenses de régulation des marchés agricoles, lesquelles seraient réduites de 60 à 30 % du budget communautaire. Heureusement, une offensive française relayée par l’Allemagne semble faire échec à ce plan. Pour combien de temps ?
Bien que le coup vienne de Strasbourg et non de Bruxelles, la décision de la Cour européenne des droits de l’homme, au mépris du principe de subsidiarité et du souhait de la majorité de Italiens , d’interdire les crucifix dans les écoles d’ Italie, montre jusqu’à quel point l’idée d’un droit abstrait , désincarné, étranger à la volonté des peuples, fait son chemin.
La manière dont le président du Parlement européen a tenté d’empêcher de parler Nigel Farage, brillant député britannique eurosceptique, montre le climat d’intolérance qui règne plus que jamais dans une machine désormais remise sur les rails.
A ce regain d’activisme bruxellois, répond une soumission grandissante des administrations nationales pour lesquelles le droit européen est devenu, en France au moins, la loi et les prophètes. Le Conseil d’Etat vient de décider que les directives européennes étaient immédiatement exécutoires avant même leur inscription dans le droit national. C’était déjà la position – contestable – de la Cour de justice européenne mais pas encore celle des juridictions nationales. Le Parlement français, qui n’a même plus à intervenir, se trouve ainsi un peu plus dévalué.
En réussissant à mettre en œuvre le traité de Lisbonne malgré la volonté de peuples, la machine européenne a franchi un pas dont nous ne mesurons peut-être pas encore les conséquences. Quelque part, l’Europe est désormais sortie du « cercle de la démocratie ». L’étonnante « investiture » de Herman van Rompuy par le groupe de Bilderberg a valeur de symbole. Cette capacité d’arriver à ses fins en contournant tous les obstacles est typique d’un régime idéologique, appliquant la maxime de Lénine : « deux pas en avant, un pas en arrière ». Jusqu’ où nous mènera cette machine infernale en marche, dès lors qu’elle a démontré qu’elle pouvait passer outre avec succès à la volonté populaire clairement exprimée ? Nul ne le sait.
clip_image001Que l’Europe ne compte plus beaucoup de vais croyants ne doit pas nous rassurer. Hannah Arendt a montré comment les régimes idéologiques continuaient longtemps à fonctionner alors même que leurs cadres avaient perdu la foi. Leurs bureaucrates n’en étaient même que plus impitoyables.
Nous émettions l’hypothèse dans un ouvrage paru il ya dix ans (1) qu’il y avait entre un régime véritablement totalitaire et le système idéologique européen la différence d’un étang revêtu d’une couche de glace épaisse et d’un autre où seulement flotteraient quelques plaques éparses. Mais on sait qu’il suffit que la température baisse de quelques degrés pour que celles-ci se soudent entre elles et que tout l’étang soit gelé
Par Roland HUREAUX
1. Les hauteurs béantes de l’Europe, François-Xavier de Guibert, 1999, reed. 2007
 
http://www.gaullisme.fr/?p=3924





Le fiasco de Copenhague est d’abord celui de l’angélisme européen

22/12/2009 06:42

Le fiasco de Copenhague est d’abord celui de l’angélisme européen


Comme je l’écrivais vendredi dernier, rien n’est finalement sorti du sommet de Copenhague, que tant de dirigeants avaient fait miroiter au yeux des peuples.
Ce fiasco, au-delà des apparences, est bel et bien celui de l’Europe et de sa politique angélique, pour ne pas dire de sa contradiction majeure.
Comment en effet imaginer que la Chine et l’Inde allaient céder quoi que ce soit ? Ces deux pays sont devenus la machine à produire et à polluer du monde sous l’effet de la politique économique et commerciale de l’UE, qui les encourage dans cette voie avec son dogme du libre-échange intégral.
Copenhague révèle une fois de plus que la vraie fautive des déséquilibres mondiaux est une Europe ventre-mou, qui n’ose pas ou ne veut pas se donner les moyens de ses objectifs affichés. Les pays émergents n’ont aucun intérêt à se plier aux objurgations européennes et seule une taxe carbone aux frontières de l’UE changerait cette situation. Mais la Commission de Bruxelles, comme nombre de pays libre-échangistes, n’en veut pas…
Les euro-béats qui nous gouvernent, parmi lesquels les écologistes tendance Europe-Ecologie qui jouent aujourd’hui les pleureuses sur le sommet de Copenhague, se refusent à tout rapport de force dans le champ international, un peu comme les pacifistes et autres apaiseurs des années trente s’imaginaient dompter l’Allemagne nazie à coup de capitulations successives. C’est pourquoi, d’ailleurs, leur discours en faveur d’un « toujours plus d’Europe », style Lisbonne, est un leurre, une fuite en avant dans le néant de la volonté.
A Copenhague, c’est bel et bien l’angélisme européen - il est vrai mâtiné de cynisme - qui est mort. Il serait temps de s’en rendre compte, notamment en France, où le double langage des dirigeants, entre postures martiales et décisions minimalistes, n’aura jamais été aussi béant.
NDA





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